Général Blöw : En quête d'une vérité

Ps : Mon Rp est issu en plusieurs petites parties, jamais longues.

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I. Le Début de la Fin

Après une guerre qui fut, les villages d'Alidhan furent ruine, les corps meurtrit furent décimés. Seul les plus résistants avaient survécu.
Une voix se fit entendre :
- Général Blöw ! Général Blöw ! Cria un soldat.
Le Général nommé Blöw fut allongé à terre, une parti de son visage brulée, sont corps ensanglanté, ...
- J'ai sauvé ma vie pour celle que j'aime ...
Il put encore dire ces quelques mots et ferma les yeux. Sept jours après la terrible guerre on enterra Blöw. Toute personne l'ayant coutoyé fut attristé. Une dame vêtue de soie noir se présenta devant la tombe, son visage remplit de larmes, elle jeta une rose assombri par la douleur dans la tombe.
- Au-revoir Blöw mon beau, mon chevalier, mon fidèle. Chuchota elle avant de s'en aller.
Le lendemain on fit bruler le sceptre de Blöw qui aurais soit disant contribué à sa mort, ses vêtements furent gardé dans un petit tonneaux enfermé dans la chambre forte du village.


II. La Résurrection

Un siècle passa, après la mort du Général Blöw. Le peuple d'Alidhan fut à nouveau peuplé, malheureusement une deuxième guerre naquit. Cette guerre avait pour but d'assiéger un village. De nobles archers du camp verts attendaient en dehors de la ville pendant des jours, semaines, arcs à la main prêt à abattre tout ennemi s'y opposant.
- Il faut réunir le conseil ! Cria un enfant.
Aussi tôt dit aussi tôt fait.
Le conseil commença :
- Que faire ? Nous allons périr dans leurs flèches ou par la faim.
- Blö....
- Que dites-vous ? Une idée ?
- Je ne faisais que rêvasser.
- A quoi pensiez-vous ?
- Rien ...
- Une seule personne peux nous sauvez.
- Qui ?
- Blöw.
- Il est mort.
- Là est le problème.
Un prêtre se leva et exclama :
- La Résurrection !!!
Personne en comprit ses paroles, ce dernier s'en alla. Le village sortit hors de la petite chaumière pour aller se rendre.
Pendant ce temps le prêtre était arrivé sur la tombe de Blöw, il versa quelques gouttes, celles la s'enfoncèrent dans le sol quand une voix retentit de la tombe :
- Ma douce, cette rose représente ton dévouement et ton amour.
Une main sortit, puis l'autre, un pied, le deuxième, tout le corps sortit de la tombe et Blöw exclama quelques mots :
- Ma douce ma résurrection je te la dois.
En tournant la tête il vit le vieux prêtre ;
- Qui êtes-vous ?
- Personne qui puisse t'être d'un grand secours. Le village est assiégé tu es le seul à pouvoir nous aider.
- Un siècle que je ne demeure plus, où est ma douce ?
- Personne ne le sais.
- Où sont mes vêtements ? Mes armes ? Mes bijoux ?
- Le tout est dans la ville prise d'assaut.
- Il me les faut sans cela ma légende en demeurera plus.
Blöw enfila son long et sombre manteaux et rejoint la ville.

III. La Vengeance

Arrivés en dehors de la ville, les gardes emmenèrent les prisonniers dans un petit chariot glaciale.
- Veuillez relâcher ces braves gens !
- Manant veux-tu nous commandez ?
- En aucun cas, ceci est un conseil que vous devriez appliquer.
- Descend de ton haut-perchoir !
- M'y obligiez-vous ?
- Tu te crois supérieur ? Ma hache pleine de sang t'attends.
- Puisque vous le prenez sur ce ton ...
Blöw descendit devant la horde de guerriers.
- Je suis à vous, désarmé, oseriez-vous me tuer ?
- Bien sûr !
- Où est l'honneur ? Je suis sans arme.
- Seul le plaisir compte !
- Où est ma douce ?
- Ta douce ?
- Ma belle, ma ravissante, mon épouse où est-elle ?
- Elle fut emmenée et torturée après ta mort.
Le visage de notre Général prit une tournure effroyable, ses yeux devinrent rouges, il exclama d'une voix colérique :
- Si ce que vous dites est vrai je n'ai d'autres choix que de vous faire périr sous ma colère.
- Tu es seul, désarmé, tu ne vas pas pouvoir faire de grands miracles, ...
Soudain un pluie de boule de feu vint s'écraser sur la ville, les gardes périrent sous les flammes ardentes.
Le seul garde qui avait survit tenta de se cacher dans son chariot en rampant à terre, Blöw sortit sa dague la plaça dans son coup et lui sectionna la jugulaire d'un coup. Il disparu dans les flammes après avoir récupérer ses biens.

IV. Allégeance.

Au petit matin Blöw arriva dans une ville nommée Nedmor. Les habitants nommés royaliste qui ne juraient hommage qu'a Galoregor le regardèrent avec un regard plus qu'étrange. Un grand bâtiment se présenta aux pieds du Général, il y entra. Deux gardes costaux et bien armés crièrent d'une voix grave :
- Halte ! Que fais-tu en ce lieux ?
- Je souhaite entrer.
- En aucun cas tu n'y entreras !
- Que protégiez-vous ?
- Nous protégions et servions le roi Galeregor, souverain des royalistes.
- Je vois donc je le répète puis-je passer ?
Le premier garde pointa sa lance sur Blöw ;
- Arrière ! Intrus !!
- Je vous le demande une dernière fois, je souhaite entrer.
Le garde tenta d'embrocher Blöw avec sa lance, L’œil de Blöw devint tout rouge quand le corps d'un garde commença à brûler.
- Je te laisse la vie sauve vas t'en ! Dit Blöw au deuxième garde.
Entrés chez Galoregor ce dernier s'écria :
- Garde ! Un manant s'est introduis dans mon domaine !
- Crie, je t'en pris.
- Qui es-tu ? Que fais-tu ici ?
- Je me nomme Blöw, âme errante à la recherche de ma douce.
- Si tu es ici dans le but de trouver des informations à son sujet je n'en ai pas à te donner.
- En m'a dit que vous sauriez où elle est.
- Cela est faux je n'en sais rien.
- Ton savoir, dois me servir dans ma requête.
- Je crois savoir de quelle dame parles-tu, mais ...
- Mais ?
- Un service en vaux un autre non ?
- Que souhaites-tu ?
- Je vois la dépouille d'un de mes gardes à tes pieds, tu dois être très puissant pour l'avoir terrasser, je te propose de me jurer allégeance, ce qui veux dire d'arborer mon drapeau lors de tes combats.
- J'accepte, si cela permet de retrouver ma douce.
- Voici un cape de couleur rouge je t'en pris enfile la.
Blöw jeta la cape à terre.
- Que fais-tu ?
- Je colorerais mon manteau du sang de mes ennemis.
- Si tu préfère cela, tu fais parti des force royaliste maintenant.
- ...
- Ah oui ! Il me semble que ta douce a été capturer et emmené dans une forteresse arborant un drapeau vert.
Blöw s'en alla, sa rose dans sa main gauche, décidé à retrouver sa belle.

V. Un soir ...

Blöw résidait dans une petite auberge de Mérulik attendant que sa force lui revint. En plein après-midi il essaya de s'endormir, des cries, des hurlements le réveilla. A peine sortit-il de l'auberge qu'il vit une horde de combattants arborant les couleurs de son alignement, armés, prêt pour une bataille. Les drapeaux furent élevés en signe du début de la guerre. Les royalistes vêtues de rouge menèrent un assaut sur une forteresse verte. Les cartellois eux, habillés de vert furent prêts à périr pour leur impératrice ; Zélandra. Blöw ne sachant pour qui se battre resta en plein milieu des combattants. Tout à coup les deux troupes engagèrent un assaut dans la forteresse, Blöw voulut entrer mais une hache vola et vint se mettre en travèrent de sa route. Il haussa le regard vers la direction d'où vint la hache. Il vit un paladin, équipé d'une armure verte, d'un grand écu, ainsi qu'une fine épée.
- Que viens-tu faire ici ? Demanda Blöw.
- Je me nomme Atones premier du nom, soldat de la garde rapprochée de Zélandra.
- Pourquoi oses-tu te mettre sur mon chemin ? Souhaites-tu périr ?
- Je suis en ce lieu pour protéger les soldats de Zélandra.
- Tu serais donc prêt à mourir pour eux ?
- Biensur si cela puisse être bénéfique à mes alliés.
- Tu es donc brave. Je te conseil de me laisser passer.
- Si tu souhaites passer, il va falloir me vaincre et arracher ma fierté.
- Si tel es ton souhait.

VI. Rude combat.

Avant que le combat commence Blöw fit un étrange regard bleuté à Atones. Soudain Atones se sentit lourd, incapable de supporter ses jambes. Blöw le regarda d'un œil verdoyant cette fois, maintenant Atones fut plongé dans l'illusion. Le paladin pris sa lame et se jeta sur son adversaire à vive allure, Blöw eu le réflexe d'esquiver. Puis contre-attaqua en déposant une dague empoisonnée dans les côtes d'Atones.
- Qu'est-ce ? Demanda ce dernier.
- Du poison ...
Aucun répit, Atones lança une nouvelle charge sur Blöw. Le mage en contre-attaque fit s'abattre une ruée de boule de feu sur le cartellois, ce dernier put paré grâce à son écu. Au moment où le bouclier se fracassa, l'officier de Zélandra lança une hache dégoulinante de sang sur le mollet du Général. Général Blöw tomba à terre. Atones courut vers son ennemi, soudain les yeux de Blöw devinrent givre et Atones fut paralysé, dépourvue de ses mouvements. Le mage se releva doucement, approcha à petits pas du combattant. Arrivé à proche distance, Atones canalisa toute son énergie dans un sacrifice. Blöw fut projeté en arrière par la puissance de l'impact. Atones mis à terre se tortillais de douleur. Blöw se releva encore une fois, le paladin affreusement blessé jetta ses armes aux pieds de son ennemi en signe d'abandon et demanda :
- D'où te proviens une telle puissance ?
- Tu es un preux combattant, mais tu as encore la force de parler comment le peux-tu ?
- Je suis Atones et je combat pour Zélandra tant que mon blason n'aura point été arraché je continuerais de combattre.
- Pfff ...
- Dis moi d'où te viens cette force.
- Si je te le dis je vais devoir te tuer.
- Alors dis le moi je n'ai pas peur de la mort.
- Bien, avant que tu meurs je vais te le dire ; cette force naquit quand mon corps et mon âme furent confrontés à la mort.
- Tu n'as jamais pu être confronté à la mort !
- Tais toi ! "Blöw renaîtra de ses cendres, adieu mon amour" Ce sont les mots que prononça ma chère de ses douces lèvres ensorcelées.
- Tu dis que c'est l'amour qui t'as sauvé ? Pitoyable.
Soudain la carcasse d'Atones s'écroula à terre. Blöw lui arracha son blason et le traîna sous un cailloux, le camoufla grâce à de fins feuillages.

VII. La forteresse.

Après avoir camoufler sa précédente victime. Il lui arracha son blason ainsi que ces galions. Le Général entra dans la forteresse, de nombreux ennemis l'attendirent. Blöw jeta l'insigne, ainsi que les galions d'Atones aux pied de la troupe cartelloise, un garde voyant cela s'écria :
- Ce sont les biens de notre commandant ! Tuons le ! Ordonna un colonel.
La horde sauvage attaqua Blöw, ce dernier d'un simple claquement de doigts paralysa chaque guerrier.
Soudain une pluie de flèche vint s'écraser sur les portes, les cartellois, ... Blöw se tourna voir d'où venait les flèches, c'est à ce moment qu'il vit trois archers accompagnés d'une fière archère, vêtues de vêtements rouges.
- Bonsoir Blöw nous venons t'aider.
- Je n'ai pas besoin d'aide.
- Nous combattons pour Galoregor n'est-ce pas ton cas ?
- Je ne me bat pour personne excepté pour ma douce.
- Dommage, mais pourrais-tu prêter ta force aux royalistes pour cette bataille ?
Blöw poursuivit son chemin à travers les ennemis sans s'être pris la peine de répondre. Grâce à l'aide d'autre royaliste Blöw put se frayer un chemin vers la dernière salle : celle du scribe. Quelques valeureux combattants cartel vinrent tenter de sauver leur honneur en tuant Blöw. Aucun ne put satisfaire ce désire. Blöw épuisé de son combat lâcha assourdissement dans un moment crucial à sa survie son sceptre qui roula aux pieds de son ennemis qui se vanta :
- Ah ! Ah ! Ah ! Je suis le seul à avoir put terrasser Blöw, je rapporterais sa carcasse devant Zélandra l'air triomphant.
- La mort ne fait en aucun cas frémir ...
- Tu n'as plus d'armes, écu, rien pour te protéger ou survivre.
Blöw sera fort sa rose, quand une flèche vint se déposer à toute allure dans le pied de cartellois. S'écroulant, une deuxième vint se déposer dans son front, la dernière vint dans son coeur. Blöw vit alors apparaître une archère, vêtue de soie fine, de tissus rougeâtres.
- Je te remercie, que viens-tu faire en ce lieux ? Qui es-tu ?
- Je me nomme Kaëlyn, archère de la Sanguist Royalist.
Nos deux combattants demeurèrent seul dans la salle pendant de longues minutes, de nombreux cadavres traînant à terre. La cape de Blöw fut ensanglantée par les coulées de sang de ces ennemis. Soudain une flèche vint effleurer la cuisse de Kaëlyn. Blöw ayant repérer l'attaquant saisit son sceptre et lança un projectile de magie noire sur le pied de son ennemi. Une flèche vint transpercer l’œil de l'ennemi.
- Kaë' comment vas-tu ? Demanda un archer vêtue de rouge.
- Toi ! Transportes cette damoiselle hors de danger je m'occupes des ennemis.
- Excuse moi de mon impolitesse mais qui es-tu ?
- Peu importes vas t'en !
L'archer suivit les directives de Blöw. Blöw désormais seul s'avança à petits pas vers le scribe.
- La forteresse détenue par les combattants de Zélandra appartient désormais à Blöw soldat de Galoregor.
La victoire naquit dans le cœur de Blöw,une victoire pour lui, un triomphe pour les royalistes. Après ce bel instant de victoire Blöw s'écroula de fatigue.

VIII. L'invitation.

Un petit matin Blöw se réveilla, il avait encore les traces de flèches, de sabres, de magie, ...
La forteresse, ce lieu, qui lui avait presque enlevé la vie lui appartint enfin. Les cadavres avaient disparu, Blöw sentit une douce odeur de fleurs à côté de lui. Il se leva et vit une lettre enroulée dans un fin tissu jaune vif, il la ramassa et la lu tout en profitant du doux parfum :
" Mes salutations Blöw,
Merci de m'avoir sauvée au périple de votre vie, je vous suis très reconnaissante, Mille Merci.
Kaëlyn ♥"
Après avoir lu la lettre Blöw l'attacha du magnifique ruban jaune puis la posa délicatement dans la poche de son manteau. Soudain une flèche vint s'écraser devant l’orteille de Blöw. Celui-ci surpris regarda au tour de lui, il vit caché dans un buisson un franc-tireur armé d'un arc. Blöw courut vers l'arbuste, l'archer fut trop rapide et parvint à s'échapper. Blöw alors tenta de le paralyser, mais le franc-tireur le pris de vitesse et parvint à fuir. Blöw retourna dans sa forteresse. Il lut alors la missive :
" Hier soir tu nous as prouvé ta valeur, à tous les troupes rouges. Tu as su défendre nos couleurs, tu nous as prouvé ta loyauté.
Je t'invite à demeurer avec nous les Sanguist Royalist, nous avons pour but de faire régner Galeregor.
Salutations Armik, Baron S.R"

IX. La bague ....

Tard dans la soirée, Blöw ayant lu, lu et re-lu la lettre alla un peu exploiter sa résidence. Arrivé devant le scribe ce dernier, un peu angoissé lui dit en tremblant :
- Maître ! Maître !
- Que se passe t'il ? Répondit Blöw.
- Un serpent, un serpent.
- Un serpent ?
- Il hante votre domaine.
- Je ne l'ai pas vu.
- Il est dans la salle du fond.
Blöw se dirigea dans la salle du fond lorsque il vit un gèant serpent verdâtre. Il s'empressa de s'armer de son sceptre. Le serpent tenter de le mordre mais le général esquiva chaque assaut. Alors il le bloqua d'un éclair, lui lança un regard furieux puis le brûla d'une grosse boule de feu.
Une bague vint rouler au pied de Blöw avec une fine lettre écrite dans un papier soyeux :
" A Roghan je fut capturé,
A Far je fut éxilée,
Dans les sois-bois je fut décimée,
Et enfin dans les Marécages je fut enterrée.
Dame du Général Blöw."
Blöw attristé versa une larme, enfila la bague quand tout à coup une grande force l'envahit : la vengeance.

X. Le lac.

Blöw après avoir contemplé sa bague pendant de longues heures, il se décida de se rendre à rhogan, premier lieu de sa lettre, deuxième lieu de résidence de Roi Galogregor.
Après quelques minutes de course, il prit le transporteur et arriva à Rhogan. Comme à son habitude il cousit des vêtements, des bottines, ... Voulant cuisiner, il alla pécher, sortit sa canne à pêche de son coffre, et prit des hameçons.
En apercevant le lac, il n'aperçut pas que cela ; une jeune femme, dénudée, aux fins cheveux. Blöw l'approcha délicatement posant sa canne à pêche à terre, sortant son sceptre. Arrivé à courte distance il tenta de la paralysée, la fille exalta un grand bon, puis tenta en vain de fuir. Chaque pas la rendait de moins en moins rapide, Blöw la rattrapa, lui égratigna son sceptre sur la joue qui s'ensanglanta. Un petit cri sortit de la bouche de la damoiselle blonde. Blöw la regarda puis vint sur son épaule un blason cartel.
- Que fais-tu ici ? Tu t'exposes a de grands risques !
- Est-ce toi Blöw ?
- En quoi cela t’intéresse ?
La dame déposa à ses pieds un fin pantalon ;
- Tiens je l'ai fait pour toi, afin qu'il t'aide dans tes voyages, il concentre tous les esprits des lacs.
Blöw vit en son visage, quelque chose de familier : le regard.
- T ais-je déjà vu ?
- Non mais ton futur est lié au mien ...
- Que veux-tu dire ?
- Tu le verras.
A ces mots la fille disparu, laissant Blöw paralyser dans le doute.

XI. L'entrainement.

Blöw avait dormi à la belle étoile. La nuit fut assez froide, glaciale, Blöw en frissonna. Le matin un bruit de flèches le réveilla :
- Prend ça !!
Blöw leva la tête, il entendit encore le bruit des flèches s'écrasant sur les bois massif.
- Kaëlyn, est-ce toi ?
- Tiens Blöw, ça faisait longtemps.
- Que fais-tu là ?
- Je m'entraîne, je me perfectionne.
- Je vais te regarder.
Kaëlyn sentit le stresse l'envahir, alors elle cibla une pomme accroché sur un tronc d'arbre, décocha une flèche, tira.
La flèche effleura la pomme s'en la toucher ;
- Grrr !
- Ne désespère pas.
Kaëlyn ressortit une flèche, visa, et tira, encore loupé. L'archère désespéra, allant à jeter son arc à terre.
- Kaë' ...
- Je n'y arrive pas.
Blöw se leva, ramassa l'arc, prit une flèche déjà entamée puis l'arma, cibla, tira : en un coup il toucha la pomme en plein centre ; la pomme explosa en plusieurs parties.
- Blöw, Bravo.
Blöw tendit l'arc à son archère favorite tout en lui montrant le geste.
Kaëlyn arma son arc, prit une belle flèche, lâcha la corde, grâces aux conseils de Blöw elle toucha la pomme à l'endroit désiré.
- Tu vois.
- Merci.
Blöw frappa l'arbre d'un coup de sceptre, de nombreuses pommes tombèrent. Il les ramassa et les disposa une après les autres, de sortent que la damoiselle puisse s'entraîner. Kaë' grâce aux nombreux conseils de Blöw toucha toutes les pommes.
Après un tel effort elle tomba à terre, Blöw la transporta jusqu'au lit le plus proche, posa aux pieds du lit un bon plat cuisiner.
- Au revoir Kaëlyn .... dit-il en sortant.

XII. Le mage Chamallow.

Au petit matin, Blöw comme a son habitude, après avoir pécher, cuisina pendant de longues heures ...
Soudain il vit qu'il n'avait plus d'assiettes pour cuisiner, les poissons étant encore frais il du agir : A grands pas il se dirigea à Brosems. De nombreux combats entre les Cartellois, Exilés et Royalistes firent rage. Blöw se glissa parmi les combattants et arriva enfin, après un long slalom au marchand.
- Blöw, mon crafteur Fétiche que cherches-tu ?
- Des assiettes pour ma cuisine ! Met en moi une centaine !
- Des assiettes tu dis ? Je n'en ai plus, mon marchand c'est fait attaqué.
- Sais-tu où je puis en trouver ?
- Dans l'auberge de Brosems je crois qu'il y en a.
Blöw repartit, visage déçu, vers l'auberge.
Arriva le marchand fit entourer de quelques bonhommes, vêtue tout en noir, avec une petite dague un main.
- A l'aide ! A l'aide ! A l'aide ! Cria le marchand.
Blöw d'un déluge de boule de feu décima chaque brigand/assassin.
- Merci, mais pourquoi m'aider ?
- On m'a dit que vous vendiez des assiettes pour la cuisine est-ce vrai ?
- Vous devez confondre, le marchand qui vends des assiettes est parti il y a deux jours.
- Merde ! Cria Blöw, enfin je veux dire mince. Qui êtes-vous alors ?
- Je suis un marchand, simple d'esprit, je vends quelques babioles. Je vends aussi des sorts.
Soudain le marchand jeta une sort mauve sur Blöw et s'enfuit en se cachant le crâne d'une citrouille.
Blöw s'écroula à terre, avant de lâcher sa bague qui roula au fond d'un meubles.
Le matin, le royaliste se réveilla dans un lit de bois fin.
Où suis-je ? se demanda t'il.
A peine avait-il contempler son doigt qu'il remarqua qu'il n'arborer plus sa belle bague.
Se levant du lit il remarqua ses bras flasques, son torse courbé, ses oreilles se dressèrent tel un elfe.
Sortit du tronc d'arbre où il avait fait la sieste, il parcouru quelques forêts, vallées quand ses pieds furent ramollo ; là il vit un panneau ou l'on indiquait " Brosems tout droit"
Se souvenant de cette région Blöw y retourna, arrivé dans l'auberge il vit un objet d'une brillance, d'un éclat tel le soleil en pleine apogé. Il y glissa sa main, et tomba sur sa bague.
- Te voilà ! Ce dit-il.
Soudain un archer vint le défier, Blöw tenta de le paralyser mais l'agilité de l'ennemi fit trop importante. Alors il tenta de faire pleuvoir un déluge de boule de feu, mais l'archer esquiva. Soudain une force mystique prit possession de son corps et une voie se fit entendre :
- Chamallow !!!!!!!!!!! Je sens la puissance !!!!!
Le visage de Blöw s'assombrit alors, devint violet. Ses membres devinrent élastique.
- Par la Force Du Chamallow !!!!!!!!!!
Un énorme orage fit alors ravage après l’invocation de Blöw et transforma le lance cure-dent en chamallow.
Ce pouvoir troubla Blöw dans ses pensées. Il s'adressa alors au marchand le plus proche : celui de Brosems.
La discussion commença par une question du marchand :
- Alors les assiettes ?
- Il n'y en a pas eu.
- Comment ça ?
- A la place il s'est enfuit et m'a lancé un sort.
- Comment ???
- J'ai une force qui crie Chamallow à chaque combat.
- Ce marchand est un marchand maudit.
- Comment cela se soigne ?
- Il faut savoir utilisé cette force, puis le vaincre.
Blöw triste de cette nouvelle, redressa sa cape, puis s'en alla.
Le général s'en alla chez son bon roi, voir si celui-ci pourrais l'aider a concocter un remède.
Arrivé à Nedmor, il prit rendez-vous avec le roi ;
- Blöw j'ai crainte qu'il ...
- Pourquoi moi ...
- Blöw, c'est une chance d'avoir un tel pouvoir, tu dois savoir en faire bonne usage.
- Vous avez raison.
- Pauvre Blöw, dit le roi tout en exclamant un grand sourire.
- On dirait que cela te fais rire.
- Biensur, le combattant le plus fière que j'ai peut enfin être vaincu.
- Comment ça ?
- Gardes !!!! ordonna le roi.
Deux gardes apparurent, Blöw tenta la fuite quand il tomba sur une pierre, celle-la lui trancha la paume de la main gauche : celle où il tenait son sceptre.
- Ahh ! cria t'il malheureusement deux lances vinrent abattre sur son corps..
Cinq jours passèrent quand Blöw se réveilla dans une prison.
- Qui m'a enfermé là ?
Un cadavre lui répondit :
- Le roi !
- Pour quelle raison ?
- Comme moi ....
- Que veux-tu dire ?
- Tu es devenu trop puissant, trop important auprès des royalistes.
Blöw ne le croyant pas, tenta de brûler les barreaux.
- AAAAAAIIIIIIIIIEEEEEEEE !!!!! La cicatrice de Blöw devint grande.
Une femme entra dans la prison et emmena Blöw dans un endroit caché de tous.
- J'en ai marre qu'on le me traine partout si je ne peux plus avoir confiance en personne ...
A ces mots Blöw s'enfuit lointainement. Deux jours plus tard il était devant sa tombe :
- Ma douce ........ Je n'ai plus rien à faire dans ce monde.
Il voulu se jeter dans la tombe quand un esprit lui apparu ;
- Blöw, mon beau lis la lettre de la bague et tu me trouveras....
Blöw sentit son coeur revivre/rebattre à nouveau.
- Chamallow !!!!!!!! Par cette Puissance !!!! Je te Sauverais !!!!!

XIII. L'étrange pouvoir.

Blöw chercha pendant de nombreux jours comment il pourrait se débarrasser de ce pouvoir. La solution la plus rationnelle qu'il trouvât : maîtriser cette force pour en tirer avantage.
Voulant trouver un adversaire de taille il alla à nouveau à Rhogan, toute la journée il vagabonda la ville à la recherche de combattants avide de combat. Soudain se présenter à lui Kaëlyn.
- On en se quitte plus dis donc. Dit-il en riant.
- Tu m'as aidé dans mon apprentissage depuis je suis devenu une archère d’exception.
- Je n'ai fais que dévoiler ton talent, enfui au fond de ton corps et de ton âme.
Soudain l'archère jeta aux pieds de Blöw une dizaine de têtes ennemis.
- Bravo, tu es devenu très puissante.
- Tous cela grâce à toi Blöw, je l'ai ai tous heurter en plein crâne, la mort certaine en un coup.
Blöw s'empressa de féliciter Kaëlyn.
- En quoi puis-je t'être utile ?
- Si tu insistes, je dois tester ma nouvelle force, à mon signale tu vas m'attaquer avec tes flèches de toute ta force.
- Je ne peux faire cela, je vais te blesser, pire te tuer.
- Non mon pouvoir ma fera survivre.
Kaëlyn s'éloigna comme pour fuir, mais elle sortit son arc dégaina ses flèches et Bim !
La flèche transperça la paume de Blöw, qui au même instant cicatrisa comme par magie.
La damoiselle fut pris d'étonnement alors elle dégaina une autre flèche et la tira. Cette fois Blöw parvint à la contre-attaquer : la matière chamallow engloutir la flèche.
- Impressionnant ! Crièrent les deux combattants.
La rose du général se mit à devenir d'une couleur noir. Il s'en inquiéta tout de suite.

XIV. Drôle de rencontre.

La rose devint d'une rougeur tellement grande, qu'elle se mit à chauffer.
- Je dois retrouver ma belle ! Balbutia Blöw.
Laissant Kaëlyn seule, il s'en alla... Au bout d'une centaine de pa's, essoufflé, il arriva près d'une ville arborant les couleurs du prince Kaldrass. Soudain Blöw vit un exilé courant au loin, il sauta dans une touffe d'herbe et observa la scène. Un archer arborant la même insigne l'attaqua, le mage déjà blessé tomba à terre.
- Gil, pourquoi nous as-tu trahis ? Demanda l'archer.
- J'ai tenté de protéger celle qui me ..... A ces mots il s'écroula.
- Je n'ai plus qu'a te tuer. Murmura l'autre.
Le mage se releva à temps pour esquiver la flèche, sortir sa dague et la lancer sur son ennemi. L'archer s'écroula à son tour. Gil se toucha le visage, il était ensanglanté. Blöw alors sauta hors du buisson, lança un terrible éclair au derrière de Gil. Un guerrier s'étant glissé derrière l'exilé fut aussitôt éjecter au loin.
- Pourquoi m'avoir sauvé ?
Il s'écroula avant d'entendre la réponse...
Au petit matin, Gil se réveilla. Blöw ouvrit la porte et lui raconta son aventure précédente.
- Désolé de revenir sur cette question mais pourquoi m'avoir sauvé ? Demanda Gil.
- Je ne te connais pas, tu ne me connais pas, mais en observant la scène tu as dit que tu protéger une personne.
- J'ai protéger une ennemie.
- Nous nous ressemblons, je cherche ma douce depuis un siècle.
Nos deux amis se racontèrent leurs histoires et aventures tout en mangeant du miel fraichement cuit par Blöw.
Au matin Gil conclut qu'il aiderait Blöw durant sa prochaine conquête.

XV. La mission

Ayant espionner le cartel toute la matinée, Blöw & Gil retournèrent dans une petite cabane lointaine prêt a affuter leurs armes. Une flèche vint se coller à la porte, fessant retentir un petit bruit. Une petite lettre y était accroché :
" Blöw, la S.R serait prêt à t'aider, ce soir,
La forteresse des marécages, abrite un cadavre au sous sol,
Il nous semble que cela ai un rapport avec ta douce,
Nous te demandons juste d'enfiler la tunique rouge, et de te battre avec nous.
Armik ! "
Gil arracha son blason bleu, le jeta à terre et l'enflamma.
- Je vais aussi t'aider !lui dit-il.
Le soir venu Blöw & Gil parcoururent la forêt menant aux marécages.
- Ils sont nombreux ! Exclama silencieusement Gil.
Soudain, une armée de guerrier, paladin, et barbare se jetèrent sur les troupes d'exilés, au loin on voyait les archers munies de leur arcs. La guerre fit rage, ce fut un vrai massacre. Blöw alors se jeta dans la foule pour au final arrivé à l’intérieur de la forteresse. Traversant les combattants nos deux héros atteignirent bientôt le cœur de la forteresse : la salle du scribe. Quand soudain une flèche vint se planter dans la cœur de Gil qui tomba par terre. Blöw, tournant la tête vit au loin un archer déchue : celui-ci arma son arc prêt à lâcher une flèche sur le visage du général. Blöw alors créa une grand explosion avant de se séparer de son sceptre....
Suite à l'explosion il fut téléporté dans une petite salle sous terre....

XIV. Retrouvailles

Arrivé dans le sous-sol de la forteresse Blöw vit une jeune femme ayant l'allure d'une princesse. Il s'approcha doucement pendant que les bruits de fracassements d'armes/armures se firent entendre.
- Il me semble vous avoir déjà vu, comment vous nommez vous ?
- Je ne vous ai jamais vu, mais votre visage m'est familier. Répondit la femme en agonisant.
Tous deux avaient une impression de déja vu.
Pourquoi êtes-vous ici ? Continua Blöw en sentant son cœur battre.
- On m'a éxilée, la raison fut simple je fus amoureuse, mais ce fut un amour interdit, j'ai été condamnée à la première seconde, au premier baisé.
- Vous devez amèrement regretté je me trompe ?
- Je ne regretterais jamais cette acte !
- Je vous vengerai mais qui étais-ce ?
- Un commandant de zélandra se nommant ......
Elle en put continuer sa phrase qu'elle palit et s'écroula.
Blöw reconnut la femme comme sa douce, la femme qu'il recherche depuis des lunes,il fonda en larmes avant de jurer sur sa rose de la vengeai. Il sortit du sous-sol, il ne restait que le cadavre du pauvre Gil. Blöw le transporta avant de la plaçais au sous-sol au côté de sa dame.