Sauvés par un enfant??

Elle tombait. Mais avant cela, elle avait presque goûté aux puissances magiques du royaliste.
Elle tombait encore.
Dans ces moments-là, où quelqu'un de normal paniquerait, elle, Monya, se sentait en confiance. Oui la chute était longue et dangereuse. Mais elle se préparait à l'atterrissage. Son corps sans raideur, ses jambes repliées...le sol arrivait vite. Tout allait pour le mieux.
Sauf pour sa cheville. Elle décida de ne plus être replié. Résultat: dans son atterrissage, elle tombe sur celle-ci et un énorme CRACK se fait entendre. La roulade se passe bien, mais pas la cassure. La moniale étouffe un juron. Elle a du sang partout sur elle, résultat des blessures infligées par le Géneral.
Elle se lève. Hurle de douleur. Tombe de nouveau sur les fesses.
Elle ne bougeait plus... La douleur était violante!

Des pas... Voilà... La mort était là... L'homme de Galoregor approcha, et leva son bâton... Elle le regarda d'un air pleine haine.
Il avait l'air d'hésiter... Elle profita de son indécision pour s'approcher délicatement et le faire basculer. Il tomba à son tour. Se relevant l'homme regarda la cartelloise tous faire pour rester en vie. Un sourire étira ses lèvres... *mais que fait t'il ? pourquoi il ne me tue pas?* Pensa-t-elle.
Ses membres tremblaient, mais elle réussi à se remettre sur les pieds. La partie n'était perdue d'avance, mais Jamais, elle mourai indignement. Elle mourais pour Zélandra avec honneur!

Elle se tient droite, et regarda l'homme en rouge d'un air féroce. Son sourire avait disparu, faisant place à l'étonnement. Grâce à la bêtise de l'ennemi, ses pouvoirs de guérisons eurent le temps de faire effet! Enfin elle sent renaitre la force dans son corps! La partie n'était peut-être pas fini! Un rire la secoua et elle regarda cet homme. Confiante, elle leva sa main, et un rayon de lumière bleu sorti, tapa le royaliste de plein fouet. Il s'écroula. Voilà, les positions avais changé: elle était le chasseur et lui le lapin. Mais malgré les soins, la douleur était... Submergente.

Elle regarda autour d'elle. Son camarade, était mort, baignant dans une flaque de sangs. Les larmes lui montées aux yeux. La haine pour cet homme était de plus en plus forte! Elle se retourna vers lui. Le regarda. Il était fatigué. Pour cela, n'importe qui aurai pus le dire. Et puis, ça fessais déjà une heures que l'on se battait, c'était normal. Mais il avais pas subi autant de blessures que la jeune fille.
Elle haletait. La fatigue était accablante. Elle commença à se demander si ce combat finirai un jour.
Elle fit un pas. Grave erreur!! Sa cheville n'avait pas encore guérie. Et voilà... De nouveau au sol. Il s'approcha assez vite. Puis là un cris :
-NON!!! Toi, le rouge! Tu le laisses cette fille!!
Il se retourna, la moniale aussi. Et ils virent... *non, c'est pas posible!!* pensa t' elle. Devant eux se tenais UN ENFANT!!
Le Général Blöw, s'approcha du garçon.
Un besoin de sauver ce petit homme, Monya se redressa et envoya une petite dague qu'elle cacher dans sa veste. L'arme se planta dans le muscle de la jambe de Âknµtröw. Il hurla de douleur.

Elle regarda le petit et lui fit signe d'avancé. Il arriva doucement. Elle lui demenda:
-Comment t'appelles-tu?
- Je... Je m'appe... m'appelle Da...Damian.
-Alors écoute moi Damian, Merci de la diversion, tu seras un bon guerrier plus tard. Je décrirai tons courage à Zélandra. Elle sera fière de toi. Mais maintenant part. Mais avant Accepte mon présent.
Elle sorti alors une bourse pleine et la lui tendis. Prend et part!
-Mer...Merci!
Elle le regarda partir et souris. Puis se retourna vers le Royaliste... Elle s'approcha en boitant. Le regarda... Mais... Ne le tua pas... La vue de ce petit garçon avait fait naitre en elle le sentiment de compatie. Et voir cet humain, sans parler d'ennemi, juste humain... Etait insoutenable pour elle.

Que faire?? Le tuer? Elle aurai sa sur la conscience, car de sangs froid s'était pas possible pour elle... Si encore sa se serai passer en pleine bataille, elle aurai suivie son instinct... Mais la c'était son coeur...
Mais si elle le laisser vivre? Zélandra lui en voudrait t' elle?
Non, elle ne pouvais pas l'abattre comme ça... Elle s'acroupi, posa ses mains sur l'homme et le soigna...
Voilà... Maintenant allons voir comment allez réagir le jeune royaliste....

Blow était allongé sur les deux bras fin de la belle cartelloise. A son réveil la moniale le posa délicatement sur une pierre fine et douce.
- Où est mon sceptre ?
- Je l'ai posé contre l'arbre, il a était endommagé pendant le combat.
- Contre qui ai-je combattu ?
La ravissante damoiselle continua de guérir les blessures du royaliste sans lui répondre.
- Contre qui ai-je combattu ? répeta t'il.
Voyant les blessures de la jeune cartel il s'écria :
- Est-ce moi qui t'ai blessé ?
Monya n'osait point lui dire sous peine de l’attrister. Soudain elle remarqua une rose couleur rosâtre dans la poche du général, elle l'a caressa. Blöw giffla la dame, la projetant en arrière.
- Aie !
- Ne touche pas à cela !!!
- Pourquoi que cela représente t'il ?
Blöw fut envahit de larmes, enfila sa cape tachée de sang.
- Où vas-tu ?
- Merci de tes soins mais je m'en vais chez mon roi.
- Tu es trop faible pour aller quelque part.
Blöw s'écroula à terre sous la fatigue.
Monya l'emmena dans une petite cabane cachée dans une sombre forêt écartée de cyrosh...
Cinq jours après le royaliste se réveilla : il avait dormit dans des draps très confortables. Il s'équipa de son long manteau, de sa bague qui recelait de longs souvenirs,de son sceptre puis sortit de la cabane. Soudain il vit Monya accompagnée d'une jeune femme blonde, toute deux étaient habillés de deux courtes robes de soie.
- Blöw ! Où vas-tu ?
- Je compte m'en aller.
- Reste encore quelques jours.
- Je n'ai pas le temps.
- Je voudrais au moins te présenter une amie, de toute façon tu ne sauras pas sortir de cette forêt.
Blow passa encore la soirée en compagnie de Monya et de sa copine : Pêche. Néanmoins toute la soirée il eu un doute et cru que pêche lui était familière.
A l'aube Monya emmena Blöw sur Mérulik :
- C'est ici que nous nous quittons je présume ? Demanda Monya.
- Malheureusement oui, a moins que tu ne me suives.
Monya ne sachant que répondre lui fit une bise et s'en alla dans l'auberge Blöw la contempla et prit le transporteur vers une destination lointaine : Rhoghan.

- malheureusement oui, a moins que tu ne me suives.

Cette phrase raisonnée dans la tête de la jeune moniale. Que faire?
Elle prit une chambre, se coucha mais n'arriva pas à fermer les yeux. Sa tête était pleine de questions sans reponces.
"Quel était ce sentiment étrange? de l'angoisse? de la culpabilité? "
" Quelle était cette magnifique rose que Blow ne voulait pas quelle touche?"
"Pourquoi était-il si pressé de partir? bien sûr, il devait allez voir Galoregor, mais il n'était pas tout à fait remis."
Et surtout "Pourquoi elle se fessait du souci pour sa santé... C'était un ennemi!" *mais un humain* pensa-t-elle
Et c'est ainsi qu'elle s'endormit...

C'était la nuit. Une nuit froide et sans lune. Monya marchait à coté d'Ak. et de Pêche. Tous les trois avançaient difficilement dans le contresens du vent.
Tous à coups, cinq exilés surgissent des arbres.¨Pris par surprise, seul son ami royaliste réagi. Il en tua deux. Mais les trois autres ses jetterent sur lui, lui tranchant la tête!

-NON! cria Monya en se réveillant. Elle s'assis sur son lit, en sueur. Haletante elle regarda l'heure. Trois heures du matin...
Elle se leva sachant qu'elle ne pourrait pas se rendormir. Elle fit sa toilette, ravie de prendre enfin une vraie douche. Elle lessa l'eau froide couler sur sa peau. Enfin purifier, elle médita. Son Maître lui avait dit que sa aider à réfléchir mais elle n'avait encore jamais eu à la pratiquer. Son âme hêra ainsi pendant de longues heures. Lorsqu'elle sortit de sa tanse, elle prit une décision. Elle irait à Rhoghan.
Ce rêve l'avait efrayer et pour tout dire elle regretta de l'avoir laissé partir si tôt.
Et si jamais il rencontre un castellois, ou un exilé? Ou pire! s'il tombe dans une embuscade? Elle frissonna à la vue de la tête coupée d'Ak...
Elle écarta cette image. Non, Blow allez très bien! Il devait aller bien! Ça ne pouvait pas être autrement!
Sur cette penser, elle décendit et va voir l'aubergiste:
-bonjour mademoiselle! bien dormi?
-Très bien merci. Vos lits sont confortables! Combien je vous dois?
- 100 po's s'il te plaît!
Elle sortit les 100 po's demandés et le lui tendit.
-Voilà, encore merci pour cette nuit!
-Merci à toi! Bon courage!
Elle sourit à la vieille dame, et sorti. Une petite brise fraiche rafrèchi la jeune cartelloise. Elle resta là deux minutes et lesa jouer le vent dans ses cheveux cendrés. Puis se mit en route. Elle regarda l'endroit où elle et Âknµtröw, c'était faits leurs adieux. Elle se tourna vers le transporteur, et commenca son nouveau voyage vers un lieu qu'elle n'avait encore jamais ossez allez... Au pays du Roi... Le grand Roi Galoregor...

Blöw comme à son habitude, tôt le matin prépara de bons petits plats ainsi que de succulentes potions pour les guerriers serveurs de Galegregor. Vers dix heure il alla chasser l'abeille en rentrant il fut un détour à brosems pour acheter quelques aiguilles. Vers onze heure il cousit quelques robes, manteaux ainsi que des diadèmes. Puis vint l'heure du repas, voyant que tout son stock de frais produits avait été acheté il se contenta de manger quelques têtes d'abeilles. L'après-midi en voulant se changer les idées de sa dernière aventures il vit Monya descendre d'un fin carrosse. *encore elle que me veut-elle?* pensa t'il.
- Blöw ! Cria la moniale.
- Mon...... que fais-tu là ?
- Je souhaitais de retrouver.
Blöw ne sut que dire ;
- Tu ferais mieux de partir ou encore te cacher !
Blöw tenta de la cacher dans la forêt cachée quand surgit Armik : le Baron de la S.R.
- Blöw ! Que caches-tu ? Cria t'il furieusement.
- Bonjour je suis Mo....
Soudain Armik décocha une flèche, furieux visa la cartelloise et lâcha la flèche, vagabonde mais vite arrêter par la paume de Blöw. Cella la s'ensanglanta rapidement. Blöw alors frappa l'archer d'un coup de sceptre, le paralysa puis fit apparaître un déluge de flamme sur le crâne du royaliste. Ce dernier fut décimée à cause de la forte chaleur. Monya voulut prendre la parole quand Blöw exclama d'une voie colérique :
- Ne touche jamais aux personnes qui compte pour moi, sinon tu seras décimé !
- Blöw qu'est-ce qui t'a poussé à agir comme cela ?
- Je ne sais pas suis moi nous allons nous réfugier.
Blöw, de son coffre sortit un ou deux vêtement qu'il donna à la moniale ainsi que de bons petits plats encore chaud. Tous deux allèrent déguster cela dans la sombre forêt.
- Je te remercie Blöw mais cela ne va t'il pas t'attirer d’ennuis ?
- Les ennuis je me contre fiche, du moment que tu sois en sécurité.
Pendant quelques jours tous deux vécurent une vie aventurière, enrichissante...
Pendant ce temps Armik avait put survivre, bien-sur il en parla à Valball, son frère d'arme qui lui alla se plaindre de ce fâcheux incident.
- Comment Blöw nous a trahi ?!
Valball montra le cadavre d'Armik à son roi.
- J'ordonne à tout les royalistes de retrouver Blöw, cinquante mille écus seront donnés.
Pendant deux semaines Blöw fut traqué, recherché de tous. Monya elle semblait embarrassée de le voir dans une telle situation. Monya était parti un matin cueillir des plantes. Blöw ne la voyant revenir s'en alla la chercher, il arriva près de rhogan quand il vit la damoiselle ligoter sur un arbre, il s'empressa de la détacher quand trois flèches rapide, furtives, et puissantes s'écrasaient dans son dos.
- Blöw ! Cria Monya en larme.
Tentant de se relever une quatrième vint le heurter en plein crâne, s'en était fini de sa pauvre carcasse, Blöw s'écroula à terre sous les yeux de la cartelloise. Monya sauta sur l'ennemi qui l’assomma avant de la déposai au pied d'un arbre.
- Vengeance .... sont les mots que l'homme fit sortir de sa bouche.
Blöw fut emmené devant le roi, séparé de Monya, près à mourir pour sa trahison ....

Le soleil tapais sur la tête de Monya. Aucune brise ne venait rafraîchir le visage de la moniale. De plus le périple pouvait être des plus dangereux. Si elle rencontrait un homme au blason rouge ou un homme au blason bleu, s'était fini d'elle car elle avait juste la force de marcher. Et cette force, elle la devais au fait qu'elle voulais voir Blöw le plus vite possible.
Elle ne voyageait que près des routes. La marche était rude et longue.
Tout en avançant, elle pensait à Blöw. Son combat contre lui qui, finalement a pris une tournure assez étrange. Ce petit garçon, Damian, un petit bien courrageux à qui elle devait deux choses : sa vie et son amitié avec son encien ennemi, elle s'en souviendra tout le temps et lui sera éternelement reconaisante ! Ensuite vient les moments plus joyeux. Même si son ami souriait souvent, riait par moment une tristesse profonde reflétait dans ses yeux. "Mais qu'avait t' il?" "pourquoi toujours cette tristesse au fond de ses pupilles ?"

Un hennissement la fis sortir de ses rêverie. Elle se retourna et elle vis un magnifique cheval alezan. Elle leva le regard, un homme la contemplé, puis sourit:

-Bonjour, Damoiselle ! Vous savez, c'est dangereux de se promené seule si près de la ville du Roi ! Ou allez vous comme ça ?
-Bonjour cher Monsieur. Je suis à la recherche d'un ami qui est parti a Rhoghan, et j'aimerais le retrouver.
-Vous en avez de la vaine! Montée, je vous amène!
-Merci beaucoup! Je suis Monya, une moniale carteloise.
Enchanté Monya ! Je suis marchant de bijoux !
-Enchanté aussi .

Elle écouta le marchant fredonner une chanson. Et repartie dans ses pensées. Elle réfléchi à ce qu'elle avais relevé sur le Royaliste. Blöw est un jeune homme honnête, puissant, mais toujours un peu mélancolique. Malgrès ses sourires, et ses rares éclats de rire, son affliction revenais toujours de plus en plus profonde. Elle repensa aux larmes qu'il avait versé, le jour où elle lui avais demander qu'elle était cette rose. Elle avait l'air importante cette magifique fleur pour lui avoir fais ruisseler des perles d'eaux de ses yeux . Des yeux qui la hanter nuit et jour ... Pourquoi ? C'était une autre histoire ....
Elle remonta comme ça des ses pensées, jusqu'à qu'a sa plus petite enfance, quand elle jouait encore avec son frère et sa sœur aux chevaliers à l'aide d'épée en bois et combatait de monstres imaginaires quand son chauffeur la réveilla :

-Monya? Mademoiselle? Vous m'entendez ? Nous sommes arrivés !

Elle ouvris les yeux, s'étira et regarda dehors. Et là, elle le vit. Il était là, entier ! Quel soulagement ! Un sourire illumina son visage. Elle remercia le marchant, le paya et descendit.
Son regard croisa celui de Blöw. Il avais l'air plutôt surpris de la revoir apparemment.

-Blöw !
-Mon... que fais tu là ?
-Je souhaitait te revoir !

Puis tous ce passa très vite. Ak' lui dit de partir se cacher quand un homme surgis. Il parla à Blöw. Puis elle fis la seule chose à ne pas faire : Elle sorti de sa cachette.

-Bonjour je suis Mo...

Elle ne fini pas sa phrase que le nouveau venu décocha une flèche. Elle fila dans sa direction mais fut interceptée par Blöw. Il assoma et "réchauffa" considérablement l'homme, sans pour autant le tuer.
Elle fut d'abord complètement pétrifié par la vitesse de Ak'. Puis ébahie qu'il est agi de cette façon. Elle jeta un regard terrorisé à l'archer du roi, n'imaginant même pas que cela serais traduit pour haute trahison. Il lui dit alors de le suivre. Elle le regarda abasourdi lui demandant ce qu'il avais poussais à faire sa. "je sais pas" qu'il lui dit. Bon très bien, elle ne dit rien et le suivi.

Au pas de course, l'homme la tira puis Ils s’arrêtèrent. Blöw lui offrit des nouveaux vêtements, quelle enfila sur le champs. Il lui offrit ensuite de la nourriture chaude! "Quel délice" pensa telle.

Les jours passais, et ils eurent vent que le Général Blöw était recherché et que sa tête avait était mit a prix.
La jeune fille s'en voulais tellement d'avoir mit l'aguichant royaliste dans un si grand danger!

Pour ce changer les idées, elle décida d’aller cueillir des plantes. Tout en fredonnant une chanson qui avait bercé son enfance, elle vagabondé de-ci, de-là. Mais elle se doutais pas, qu'elle était attendu.
Elle regarda près d'un arbre voir si elle trouver une des plantes qu'elle cherché. Quand tout à coup, un bruis sec se fis entendre. Puis un deuxième, un troisième.... La jeune carteloise se retourna et se retrouva nez à nez avec trois royalistes. Elle voulu faire demi tours, mais deux autres surgirent. Elle était faite comme un rat... Elle ne résista même pas quand l'un deux l'attrapa, lui liant les mains. Ils l’attachèrent et elle eu le droit à un interrogatoire où elle raconta tout et n'importe quoi sauf ce qu'ils savoir...

-Qui es-tu ?
-Une fille.
-Oui j'avais remarqué. Je répète :qui es-tu?
-Pète et Répète sont dans un bateau, Pète tombe à l'eau, qui reste dans le bateau? Répète.

Des rires s'iflèrent autour.

-Silence! Je te le demande une dernière fois; qui es-tu?
.....
-Pourquoi tu répond pas?
-Vous avez ordonné le silence.
-Pas pour toi ! Qui es-tu?
-Et ben dit donc ! Sa fais déjà quatre fois que vous me le demander "Ô Grand imbécile"
-Ne met pas ma patience à bout !
-Au bout de quoi ? Si c'est au bout de ma dague je me ferais un plaisir de la tuer, votre patience ! Et vous avec !
-Pour une dernière fois : QUI ES-TU ? !
-Ou-la!! C'est que Monsieur s’énerve ! Je suis une moniale au service de mon Impératrice Zelandra !
-Et ton nom?
-Je m'appelle "je vais arracher les yeux à celui qui m' horripile, faire du steak avec sa chair et de la soupe avec son sang!"

L'homme ne répondit pas à la provocation de la jeune téméraire et continua son questionnaire qui devenait barbant pour Monya.

-Ou est Blöw ?
-Ho je sais pas, je crois qu'il est allez faire un tour à Mérulik ! Ou peut être à Cyrosh. Ou alors... .
-Suffit !!! ou et t'il ?
-Quelque par sur les Terres Alidhaniennes. Ha non je sais ! Je crois qu'il est allez faire un coucou sur une autre planète !
-Tu as du répondant ! Et si je te coupé la langue?
-Bah t'en mieux, comme sa même sous les pires tortures je pourrais pas vous révelé là où est celui que vous chercher !

Elle cracha au pieds du royaliste. Et lui lança un sourire mesquin et plein d'une haine féroce. Encore plus féroce que le regard qu'elle avais lancer au Général Blöw lors de leur combat...

-Mais que lui as tu fais ? Il hais les cartelois depuis longtemps ! Que lui as tu fais Sorcière?! Quel enchantement a tu utilisé contre lui !? Personne ne hais le peuple de Zelandra comme lui ! Et il tombe sous ton charme ? Non je peu pas le croire ! Jamais il ne pourrais La trahir ! Et toi tu débarque et il fais tous pour te protéger ! Quel sort lui as tu lancée ?

C'est alors qu’un homme arriva, haletant:

-C'est Blöw ! Il arrive !
-Alors tu vois, tu n'a pas eu à révélé sa cachette, il est venu tous seul à sa perte !

Le sourire disparue sur le visage de Monya. Une boule se forma dans son ventre. Des larmes coulais le long de ses joues comprenant qu'il était condamné à mourir.

Il sortit de la forêt, cria le nom de la moniale tout en courant. Elle lui dit que c'était un piège mais apparemment il fessait la sourde oreille. Il la décrocha quand des flèches l’atteignirent par derrière. Il s’effondra.

-BLÖW !

Folle de rage, sans reflechir, car la folie avait gagner sur la raison, et dans un crie de vangence, elle sauta sur l'un des royaliste qui avait tiré. Mais il l’assomma et elle tomba. La dernière choses qu'elle vit avant de sombré fut deux homme emportant le corps inerte de Blöw. Tous partirent, la lésant pour morte près de cet arbre...

Lorsque Monya se reveilla, la nuit était tomber. La jeune carteloise regarda autour d'elle, appararament, ils l'avaient bel et bien abandonnée à la mort... après s'être rassuré qu'elle était seule, la moniale se servie de ses pouvoirs de Guérison pour allegé la douleur à la tête. Après l'apaisement, elle se rememora la dérnière image de ... de quand déjà ? Celà c'est passer quand ? Il y a deux heures ? Deux jours ? Plus ?

-Blöw ! Non ! ! !

Elle se mit debout et comença à courir. Arriver devant les portes elle se demenda comment elle allez faire pour passer... c'était si bien garder. Archers, magiciens, moines, gueriers, et peut être même les villageois pourais l'attaquer. Elle avais le choix ; la magnière forte ou la ruse. N'étant pas remise, elle décida que la seconde etait la plus raisonable. Tout d'abord elle attendit. Les minutes passer vite. Trop vite ! La faim la tirailler mais elle l'ignora. Enfin, se qu'elle attendait arriva. Une moniale Royaliste sortit et alla dans la forêt. Elle la suivi discretement. Puis décidant qu'elles étaient assez loin du chateau, elle s'arreta dérière la femme au habit rouge. Elle sorti sa dague. Attrapant alors son enemie par la bouche pour l'empêcher de crier, elle lui trancha la gorge. Oui c'était lâche. Jamais encore, elle avait fait celà. Jamais elle n'avait tuer de sang froid et encore moins dans le dos. Mais toutes les solutions étaient bonnes si sa lui permet de sauver Ak'.
Elle enfila les habit de l'alignement royaliste et se dirigea vers les portes. Elle salua les gardes, qui la saluèrent en retour. Son plan marcher ! Un sourire etira ses levres. Maintenant qu'elle etait rentrer, elle se demanda ou pouvais t' il être...

-Mais oui ! La prison !

Elle se dirigea vers un viel homme :

-bonjour Monsieur, je ne sais pas où est la prison. Vous ne le serais pas vous ?
-Si elle est là bas, il y a une petite porte cacher, c'est part là.
-Merci beaucoup!

Elle partie dans cette direction. Elle trouva facilement la porte et décendit. Un homme était assi en train déguiser un couteau.

-bonjour je voudrais voir le Général Blöw s'il vous plais ! Lui dit t'elle du voix forte.
-Désolé, je ne peut pas vous laisser parler au Général, ordre du roi !

Elle se jeta sur lui l'attrapant au col et dit :

-Si Je veut voir Blöw, je verrais Blöw ! Alors écoute moi bien cervelle d'asticot, soit tu m’amène a Ak' soit je t’arrache la langue, je te coupe les oreilles et les mains, et je te creve les yeux !

Il lui tendi les clés et dit d'une voix tramblante :

-c'est... la ... la dernière porte a droite.
-Merci !

Elle se retourna et comenca a marcher. Puis d'un vif demi tour, elle coupa la tête de l'homme. Le sangs gicla, éclabousant les parois et Monya. Elle comtempla la fontaine rouge jaillir du cou du garde et sourit. Sans savoir pourquoi, plus le temps qu'elle passer loin de son ami royaliste la "rand-ait"* plûtot morbide. Plus le temps passer, plus elle avait soif du sangs de ce qui l'empêcher de voir Blöw. Elle considera un instant les clés et se dirigea vers la dernière porte a droite. Elle ouvrit et entra.
Il était là en boule, plein de sang, suite a de nombreuse tortures surement. Elle posa sa main sur l'épaule de son ami. Il frisonna, croyant surement une nouvelle blessures. Elle fit passer sa main dans les cheveux de Ak', le laissant réalisé qu'il n'avait rien a craindre. Il leva la tête. Son visage noir de et rouge fesais peur. Des larmes coulèrent alors de ses yeux. Elle se blotie contre lui pour le rechauffer utilisant un pouvoir de caléfaction et attendi qu'il se reprène. Puis elle l'aida a se relevé. Elle le lava, comme elle aurai fais à son petit frère, l'habilla de vetement propre, lui cacha le visage dans une capuche. Elle traversa la ville sans encombre. Sorti des murailles, elle se dépecha d'aller se chacher dans la forêt sombre.... pendant des jours elle du le nourir de d'alliment hacher car il était trop faible pour mâcher, le laver, le changer. Elle fesais la cuisine pour deux mais elle ne mangait que si lui mangait, ne buvait que si lui buvait.

* Rand-ait : rendait( petit jeu de mot qui ma fait rire quand j'ai compris ma faute : j'ai mit un "a" à la place d'un "e" comme vous avez pus le remarquer. Bref Rand, quand j'écrit je pence à toi j'y peu rien! Mdr )

Blöw reprit peu à peu ses forces, mais la parole ne lui revins pas, ni même l'appetit...

Au bout d'un certain temps Blöw voyant Monya s'attristait tenta de reprendre des forces ;
- Monya ?
- Blöw, tu es guéris ?
- Non, loin de là, je suis encore blessé.
- Que veux-tu ?
Blöw en y mettant toute sa force, se releva, marcha jusque qu'a la petite commode où son sceptre était posé, puis le ramassa.
- Que fais-tu ? Tu n'as pas assez de force.
- Il faut que je m'entraine pour te protéger.
Monya ne put dire un mot devant cela.
- Laisse moi passer je t'en prit !
- Tu ne passeras pas, va te coucher pour l'instant.
- C'est en attendant que je perds un temps fou.
Monya tenta de faire rempart. Blöw délicatement l'écarta.
- Monya si je ne suis pas en forme je ne pourrais plus te protéger, ni même me vanger.
- Je comprends.

A ces mots Blöw sortit de la cabane, sceptre à la main droite. Il posa sa rose dans un coin bien éclairer, et se dressa devant un énorme arbre, la corps droit prêt à briser la dur peau de l'arbre.
Il récita ne incantation magique, quand soudain de petits projectiles de magie noire jaillirent et décimèrent l'arbre.
- Blöw ! Bravo !
- Ce n'est pas suffisant je peux faire mieux !

Pendant moins de quinze jours Blöw s'entraîna dur, tout les matins aux aurores. L'après-midi il méditait. Grâce à cela il appris à comprendre la nature, s'en servir comme arme, pour se régénérer.

La troisième semaine Blöw, en pleine méditation sentit un danger. Il abrita Monya dans une petite armoire et sortit en attendant l'ennemi.
Son ressentit était juste, quelques heures plus tard trois guerriers de Zélandra se présentèrent à lui.
Blöw n'en fit qu'une bouchée, trente minutes après il jeta les corps sous une cascade.

- Monya !!!
- Que se passe t'il ? J'ai attendu de fracassements ?
- Zélandra sait où nous nous trouvons, à partir de maintenant deux choix s'offrent à toi :
1° tu t'enfuis avec moi et tu deviens coupable et criminels
2° tu restes fidèle à Zélandra.
A toi de choisir, je respecterais ton choix quoiqu'il en soit, je te laisse une nuit pour décider.

Les derniers mots de Blöw eurent pour effet de coups de poignard empoisonnés dans le coeur de Monya. Elle ouvrit la bouche mais aucun son ne réussirent à sortir. Elle tourna le dos au royaliste. Essaya de voir clair dans ses pensées folles. Des larmes coulèrent le long de ses joues.Des larmes qui, cette fois exprimaient la colère et non la tristesse. Elle pivota lentement, planta ses yeux dans les siens. Un regard aussi noir que celui du rapace. Et elle explosa.
-Quoi? Mais qu'est ce que tu racontes? Après tout ce que nous avons vécu, tout ce que nous avons subit, tu oses me demander ça? Tu croyais peut être que c'était fini? Mais merde Blöw ! Tu as tué pour me protéger et j'ai tué pour te libérer ! Je t'ai sorti de ta prison ! J'aurai pu te laisser croupir dans ton trou à rats ! Plein de sang, de boue, et de cendres ! Mais oui j'aurai pu ! Mais non ! Comme une conne, j'ai risqué de nous faire assassiner tous les deux et tu me demandes de tout laisser?! De tout abandonner?! Tu pesais qu'après t'avoir soigné, nourri et lavé, j'aurai pu t'oublier? Demande à un dragon qui a perdu ses ailes pendant un combat s'il pourrait les oublier ! Je suis ce dragon et tu es mes ailes ! Sans toi je ne suis rien, juste une vieille carcasse ! Depuis notre premier combat, j'ai appris, j'ai compris, j'ai découvert des choses sur moi que j'ignorais ! J'ai grandi, j'ai mûri ! Tout cela grâce à toi ! Mais je devais rêver ! J'imaginais que vivre une aventure avec toi était possible mais là, alors que Zelandra sait où nous sommes tu baisses les bras ! Et puis ce n'est pas mon impératrice le problème ! C'est moi ! Car vois-tu Âk', je dois la vie de ma soeur, de mon frère et moi à Zelandra. Alors que mes parents furent tués devant nos yeux elle nous a recueillis. Mon père m'a appris la loyauté et je resterai fidèle à cette femme qui nous a sauvés à nos huit ans. Et... Et en fait, je ne sais même pas pourquoi je te raconte cela ! Je n'ai jamais conté cette histoire à qui que ce soit ! Vois tu je ne savais que je pourrai un jour la trahir. Mais depuis que je t'ai soigné, je la trahi... Cela aurai été si simple de te tuer le premier jour au lieu d'écouter ce petit. De te laisser pourrir dans ce cachot. T'oublier, ne plus penser à toi, de sortir à jamais de ma vie, de mon esprit et de mon coeur !
Elle s'arrêta de parler. C'est à ce moment là qu'elle comprit... Elle disait "Bien aimé" Âk'... Mais c'était faux... Non, pensa t-elle, je ne peux pas tomber amoureuse. Et pourtant... Elle détourna le regard pour faire le vide total de son esprit. Tout disparut sauf... Son visage...
Le sol dans son champ de vision, la jaune moniale, dit alors d'une voix plus calme :
-Ecoute je... J'irai voir Zelandra et je lui demanderai si je peux m'exiler chez les exilés, pas pour les rejoindre mais pour assouvir ma vengeance des gens qui avaient tué mes parents. Tu... Tu pourrais venir avec moi... Enfin je... C'est juste une idée... Je vais déjà lui demander si je peux... Au revoir Blöw.

Lorsqu'elle se présenta devant la salle, elle avait récupéré de l' aplomb. Quand Zelandra l'appela elle prit une bouffée d'air et entra.
-Monya ma chère ! Je vois que tu as prit la bonne décision en revenant mais je ne suis pas fière de toi ! Comment à tu pu me faire ça? Tu l'as tué au moins, ton royaliste?
-Heu... Non.
-Comment non?
-Je n'ai pas pu ! C'est impossible... Pourtant à plusieurs reprises j'en ai eu la possibilité. Mais je n'ai pas pu m'y résoudre.
-Ne me dis pas que... Tu...
-Si justement !
-Monya, les cartellois que j'ai envoyé pour te chercher, ils sont où?
-Il les a tué...
-Tu les a reconnu?
-Oui... C'était des amis. A qui j'avais confiance. C'est eux qui m'ont appris à me battre.
-Et il les a tué ! Ecoute, si tu ne veux pas les venger, libre à toi ! Mais c'est soit lui, soit moi !
-Non ! Ne me demande pas cela ! Tu sais bien que je ne peux pas te laisser, ma fidélité me l'interdit ! Mais mon amitié m'empêche de le quitter ! Rappelle toi qui c'est qui m'a dit que l'amitié est importante sans lui je ne suis rien ! Si tu m'empêche de le voir, je préfère encore mourir. Mais tout à l'heure, tu parlais de vengeance... Je n'ai toujours pas assouvi celle de mes parents !
-Tu changes bien vite de sujet. Mais si tel est ton choix, pars chez les exilés. Oublie ton royaliste et ne tombe pas amoureuse d'un bleu. Tu iras avec...
-Non ! J'y vais seule, s'il te plait.
-Très bien, vas ! Prends le temps qu'il te faudra, mais reviens moi comme avant. Ah... Notre plus grand ennemi c'est bien l'amour. Pas question que tu le revois.
-Mais...
-Compris?
-Non ! M'empêche pas ça ! Au pire, tant pis, je m'en fous ! Il est parti, je pense pas le revoir.
-Très bien, vas !